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Une
fois l’encodage réalisé, les possibilités
sont multiples.
La
première est le simple transfert d’un film
sur un DVD. Dans ce cas, l’avantage qu’on
peut retirer d’un tel transfert dépend
du support original. Si celui ci est de bonne qualité
(DVCam, Bétacam, voire miniDV), le transfert
permet de conserver une qualité élevée.
Dans le cas ou la source est de qualité inférieure
à celle d’un DVD, le transfert n’améliorera
pas la qualité, mais permettra de stopper la
dégradation inévitable qui affecte tout
les support analogique, comme les bandes vhs par exemple.
Une
des possibilités les plus intéressante du DVD est celle de boucler
infiniment sur un film, sans temps de rembobinage ni
dommage au support, fonction très utilisée
par les entreprises sur les salons, dans les halls d’accueil
etc…
Deuxième
possibilité,
la création d’une interactivité
simple permet par exemple de donner au spectateur le
choix entre plusieurs films présents sur le DVD,
la possibilité de faire tourner l’un ou
l’autre en boucle ou de découper chaque
film en chapitre pour en faciliter l’accès.
Dans
ce cas, en plus de l’encodage vidéo, il
est nécessaire de prévoir une partie «authoring»
cet anglicisme barbare désignant tout simplement
la création de l’interactivité et
de l’architecture du DVD
Troisième
possibilité,
la plus intéressante bien sur, celle d’une
interactivité poussée utilisant les menus
pour donner accès à différentes
langues ou sous-titres, voire à des angles de
vues variables.
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